Extraits vidéos et analyses

Tout au long de cet extrait nous pouvons observer l’ampleur qu'a prit la femme grâce ce mouvement, puisque sur ce dialogue entre les deux personnages principaux; Michel Poiccard ( Jean-Paul Belmondo) n'y figure que 5 secondes. Alors que Patricia Franchini (Jean Seberg) y reste 1 minute et 20 secondes. Dans ce film Jean Seberg joue le rôle d'une femme qui résiste aux avances faîtes par le personnage que joue Jean-Paul Belmondo, dans cet extrait qui pourtant n'est pas très long nous pouvons clairement ressentir le caractère de la femme forte que joue Jean Seberg. De plus en arrière plan nous pouvons remarquer de nombreux faux raccords qui n'amènent pas l'incompréhension au sein du public ce qui est aussi nouveau pour le cinéma de cette époque.

Dans ce passage de "Et dieu... créa la femme" nous voyons Juliette Hardy (Brigitte Bardot) danser en agitant ses formes, c'est une femme qui pour l'époque osait, elle était même prête a déchirer sa robe devant la caméra, le fait qu'une femme montre ses sous-vêtement et aussi un trait typique apporté par la Nouvelle Vague. A 7 secondes nous apercevons en amorce Eric Carradine (Curd Jürgens) que nous retrouvons à 15 secondes et qui intervient pendant que Juliette Hardy s'amuse avec un musicien qui la suit a chacun de ses mouvements ,ce qui revoie à l'image de la femme qui fait perdre la tête au homme, mais lors de cet interventions Juliette Hardy ne semble pas se préoccuper de Eric Carradine mais plus de s'amuser le plus possible alors à la suite elle décide de rependre sa danse endiablée et le jeu commencé avec le musicien. Ce film est celui qui a véritablement fait connaître Brigitte Bardot au grand public a l’échelle national comme international.

Cette scène est sur un zoom qui se porte sur Jeanne Tournier (Jeanne Moreau) qui est le personnage autour duquel tourne le film.